Sans pleurs et sans reproche
On la dit sauvage, moins sociable que sa soeur aînée. Or, elle nous a montré une autre facette que celle d'une enfant difficile qui pleure et crie quand on la prend dans les bras.
Pendant que sa maman, sa soeur et moi, nous étions parties au marché, Sélène est restée à la maison. Tranquille, dans les bras de Papouf qui a assuré son rôle de nounou comme un tonton-chef.
C'est le soleil, l'après-midi sur la plage, qui a mouillé les yeux bleu gris de Sélène, petite fille "de la lune", parce qu'ils sont sensibles à la lumière vive.
(interruption dans la rédaction de ce billet. 00h27 : On vient de frapper à la porte. C'est mon voisin rugbyman qui vient nous inviter à fêter la victoire du MHR de Montpellier. Y a pas d'heure pour faire la fête !!! Je file !)
( Edit de 7h18 : Ouch ! Je vais me coucher. Ce billet restera en l'état. Quant à mon état personnel, je compte sur l'effet d'un sommeil réparateur parce qu'après une telle troisième mi-temps.... !!!)