C'est comme vous voulez, c'est vous qui voyez !
On peut aller pieds nus sur le sable brûlant....ou léché par les vagues de la marée montante.
On peut louer un vélo (conduite à gauche !) De préférence, en prendre un avec double plateau. Le mien n'avait que six vitesses, j'en ai bavé dans les côtes. Dans les descentes aussi.... y avait pas de freins ! Mais je me suis super bien amusée. Si bien que j'ai décidé de m'acheter un vélo en rentrant.
Un truc auquel nous ne sommes pas habitués : pas d'antivol ! Quand on revient de la plage, le vélo est toujours là, intact.
Bon, il faut juste bien mémoriser où on a déposé son biclou pour le retrouver au milieu des autres. Le mien avait de la peinture jaune sur le cadre.... comme tous les autres du même loueur !
Ou faire bande à part !
Alors que beaucoup de touristes étaient convoyés par des minibus d'agences de voyages locales...
Nous avons préféré emprunter les transports en commun (les bus Tata) avec les Seychellois. La conduite est sportive, il ne faut pas avoir peur.
Sur La Digue, les transports en commun (seuls véhicules à moteur avec les camionnettes de livraison) sont des tape-fesses :
Sur cette même île, on promène les touristes dans des chars à boeufs. Me faire tirer par un boeuf sous cette chaleur (me suis-je bien exprimée ?), non merci ! Pauvre bête !
Après les déplacements sur terre ferme, je vous parlerai dans un prochain billet des transports maritimes pour se déplacer d'île en île.